MESSAGE DE BIENVENUE


mercredi 22 mars 2017

3D printed Mars simulant




















These small-scale structures have been 3D printed out of simulated Mars dust, to investigate the feasibility of one day using local materials for building on the Red Planet and other planets.

A miniature igloo and a corner wall were manufactured as examples of designs that might be required by colonists, produced from ‘JSC-Mars-1A’ – volcanic soil that has undergone careful processing to match the known composition and characteristics of martian soil.

“The material was mixed with phosphoric acid serving as a binding ‘ink’, then extruded through a nozzle and deposited in successive layers,” explains Christoph Buchner of Fotec, the research arm of the University of Applied Sciences in Wiener Neustadt, Austria, which performed the test project for ESA....

These small-scale structures have been 3D printed out of simulated Mars dust, to investigate the feasibility of one day using local materials for building on the Red Planet and other planets.

A miniature igloo and a corner wall were manufactured as examples of designs that might be required by colonists, produced from ‘JSC-Mars-1A’ – volcanic soil that has undergone careful processing to match the known composition and characteristics of martian soil.

“The material was mixed with phosphoric acid serving as a binding ‘ink’, then extruded through a nozzle and deposited in successive layers,” explains Christoph Buchner of Fotec, the research arm of the University of Applied Sciences in Wiener Neustadt, Austria, which performed the test project for ESA.... Next

http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2017/03/3D_printed_Mars_simulant

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Aeronautics demonstrator made of titanium using 3D-printing technology.




Considered the third industrial revolution among manufacturers, 3D printing builds a solid object from a series of layers, each one printed on top of the last – also known as additive manufacturing.

Almost anything that can be designed by computer can be printed as a physical item, typically by melting powder or wire materials

ESA and the European Commission have embarked on a project to perfect the printing of space-quality metal components. The AMAZE project – Additive Manufacturing Aiming Towards Zero Waste & Efficient Production of High-Tech Metal Products – involves 28 industrial partners across Europe......   Next

http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2013/10/3D-printed_aeronautics_demonstrator

Source directe :   ESA
From : Alan F6AGV - BHAF -

dimanche 19 mars 2017

REVUE RAF à télécharger n°4 semaine 11 mars 2017

Nous étions présent au salon de Clermont sur Oise grâce à Alain F6AGV, qui en même temps animait le stand BHAF Ballon Haute Altitude France.
Nous serons présent le 15 avril à Saint-Marcellin en Forez (42) comme en 2016, pour l’Assemblée Générale de l’ERCI , fédération regroupant de nombreux clubs CB.
Occasion de présenter RadioAmateurs France et pratiquer la main tendue entre Radioamateurs et Amateurs Radio.
Dans ce numéro, de nombreuses pages consacrées à la consultation faite par l’ANFR dans le cadre du ‘’plan stratégique’’. On peut y constater les erreurs et défoulement de quelques uns, ce qui fait bien dire que nous sommes une activité de loisir par opposition aux professionnels dont la ou les réponses auraient été d’un autre ordre.
Cela m’a rappelé la réunion entre les Services de l’Administration et les associations en juillet 2013 … pitoyable.
Et tous les articles et rubriques habituelles …
La suite dans la revue, bonne lecture, 73 de toute l’équipe, Dan F5DBT.

http://www.radioamateurs-france.fr/wp-content/uploads/n4-sem11-2017.pdf

Source Directe :   RAF  
73  de Alain  F6AGV  -   RAF  -   BHAF  

dimanche 5 mars 2017

LANCEMENT ARIANESPACE VV09 : Sentinel-2B le 7 mars 2h49 heure de Paris



 <http://www.arianespace.com/>
LANCEMENT ARIANESPACE VV09 : Sentinel-2B

La Revue d’Aptitude au Lancement (RAL) s’est déroulée le samedi 4 mars 2017 à Kourou et a autorisé les opérations de chronologie pour le Vol Vega  – Sentinel-2B

Pour son troisième lancement de l’année, et le neuvième avec le lanceur Vega depuis le début de son exploitation au Centre spatial guyanais en 2012, Arianespace mettra en orbite Sentinel-2B, satellite du programme européen d’Observation de la Terre Copernicus, pour la Commission Européenne dans le cadre d’un contrat avec l’Agence Spatiale Européenne (ESA).

Lanceur polyvalent, comme démontré lors de ses 8 premières missions réussies, Vega désormais en pleine ex-ploitation commerciale, réalise pour la sixième fois une mission au service de l’Observation de la Terre.

Le lancement sera effectué depuis l'Ensemble de Lancement Vega (ELV) à Kourou en Guyane française.

  <http://www.videocorner.tv/new_mailing/LK/VV09/FR.pdf>Le décollage du lanceur est prévu le lundi 06 mars 2017 à précisément:

- 20h49min24s, Heure de Washington DC,
- 22h49min24s, Heure de Kourou,
- 01h49min24s, Temps Universel (UTC), le 7 mars
- 02h49min24s, Heure de Paris et Bruxelles, le 7 mars

Pour suivre l’événement en direct sur Internet et en haut débit HD, connectez vous sur le site www.arianespace.com <http://www.arianespace.com/> (commentaires depuis Kourou en français et en anglais à partir de H-15 mn). Le site Arianespace dispose désormais d'une plate-forme d'hébergement mondiale. Suivez également le lancement en direct sur iPad, iPhone ou Android 4+ (l’application Arianespace HD est téléchargeable gratuitement).

<http://www.arianespace.com/>


ARIANESPACE FLIGHT VV09: Sentinel-2B

The Launch Readiness Review (RAL) took place in Kourou on Saturday, March 4, 2017 and authorized count-down operations for Sentinel-2B.
For its third launch of the year - and the ninth to be performed by the Vega launcher since its first liftoff from the Guiana Space Center in 2012 - Arianespace will orbit the Sentinel-2B satellite, a part of Europe's Copernicus Earth observation program, on behalf of the European Commission within the scope of a contract with the European Space Agency (ESA).

As a multi-purpose launch vehicle that already has demonstrated its capabilities during the eight previous successful missions, Vega is now fully operational in commercial service – and will be performing its sixth flight for Earth observation.

The liftoff will be from the Vega Launch Complex (ELV) in Kourou, French Guiana (South America).

  <http://www.videocorner.tv/new_mailing/LK/VV09/GB.pdf>Liftoff is scheduled for Monday, March 6, 2017, at exactly:

- 08:49:24 p.m., Washington D.C. time
- 10:49:24 p.m., local time in French Guiana
- 1:49:24, Universal Time (UTC), on March 7th
- 2:49:24 a.m., Paris and Brussels time, on March 7th

Our website www.arianespace.com <http://www.arianespace.com/> has upgraded to high-speed transmission and a full-screen HD format to make it easier for you to follow the company’s activities and to enjoy future launch webcasts. Webcast starts 15 minutes before. You can also watch the video transmission live on your iPad, iPhone or Android 4+ devices, the Arianespace HD App is available for free.

 <http://www.arianespace.com/>

Source directe :  ARIANESPACE
73 from Alan F6AGV

mercredi 1 mars 2017

DENSITE des GAZ

Le rôle de la densité des gaz dans le domaine des ballons

Voyons le rôle de la densité des différents gaz dans le domaine des ballons.
La densité des gaz


L’air atmosphérique est un mélange gazeux très léger ; mais il existe des gaz encore plus légers que l’air :
  • l’hydrogène (densité par rapport à l’air : d=0.07) ; l’hydrogène est le plus léger de tous les gaz ; il est 14 fois moins dense que l’air. Il présente cependant des risques d’inflammation important qui lui font choisir plus volontiers, dans le cadre des activités « ballons », l’hélium, moins « performant », mais également moins dangereux.
  • l’hélium (d=0.14),
  • le méthane (d=0.55),
  • l’ammoniac (d=0.6),
mais également air chaud et la vapeur d’eau.
Le fonctionnement des ballons est basé exactement sur le même principe : une enveloppe de matière plastique est remplie de gaz, volontairement choisi plus léger que l’air (hydrogène, hélium, air chaud), d’un volume calculé en fonction de la masse à soulever.
Si les ballons utilisés aujourd’hui pour élever des charges dans les airs ne sont pas tous identiques (volume, forme, etc.), tous répondent au même principe que celui évoqué ci-dessus.

Examinons le cas de l'hydrogène, le plus léger de tous les gaz . Chaque mètre cube de ce gaz ne pèse que 90 g et peut soulever une masse de 1 200 g !
Nous tenons là le moyen cherché. Accrochons une charge à une enveloppe plastique remplie d'une centaine de mètres cubes d'hydrogène et elle s'envolera aussitôt ! C'est en vertu du même principe physique que les ballons (ou aérostats) sont en mesure d'emporter de lourdes charges dans l'atmosphère.

Pour illustrer :
Imaginons que l’on veuille emporter sous un ballon à l’hélium une expérience d’une masse de 500 kg.
A supposer que les différents éléments dits de servitude (sangles, équipements de communication, nacelle d’emport de l’expérience, etc.) pèsent environ 50 kg, l’utilisation des abaques masse/altitude visée pour le plafond en fonction de la masse à emporter permettent de choisir le type de ballon, caractérisé alors par son volume, sa masse propre (masse de l’enveloppe vide, prenons ici 400 kg) et sa masse maximale d’emport au crochet.

Ledit ballon sera en mesure de soulever l’ensemble du sol à partir d’un volume de gaz de :
Masse Enveloppe + Masse Expérience + Masse Servitude
 = 
400 + 500 + 50
 =  900 m3

? Air - ? Hélium
1.3 – 0.1785
Mais ensuite, pour soulever le ballon jusqu’à l’altitude désirée (fonction des besoins de l’expérience), il faut définir la Force ascensionnelle, fonction de divers paramètres comme l’altitude visée, la vitesse de montée du ballon, les conditions météorologiques, etc.
De plus, l’air dans lequel va se mouvoir le ballon est un fluide bien différent de l’eau entourant la balle de ping-pong de l’expérience précédente : il est compressible (l’eau ne l’est pas) ; sa densité, la pression atmosphérique et la température varient au fur et à mesure que le ballon s’éloigne du sol.
Au cours de son ascension, l’enveloppe rencontre une pression atmosphérique de plus en plus faible ; le gaz contenu dans l’enveloppe est soumis à la même pression que l’extérieur. En vertu de la loi des gaz parfaits , il va occuper un volume plus grand.
C’est la raison pour laquelle les enveloppes utilisées sont de 100 à 200 fois plus volumineuses que la bulle de gaz initiale.

Les couches basses de l'atmosphère terrestre


Les ballons ne peuvent monter que dans un air suffisamment porteur.
Sur Terre, ils sont incapables de se hisser au-delà d'une cinquantaine de kilomètres.
Etabli pour une atmosphère dite « standard », vers 45° de latitude nord, ce graphique fournit simultanément trois mesures : l'altitude (à gauche), la température (en haut), la pression (en bas).
A noter que dans certaines conditions (latitude et/ou saisons), ces valeurs peuvent significativement varier ; de même la forme de cette courbe peut être assez différente.
En rouge, la variation de la température de l'air avec l'altitude : dans un premier temps, elle décroît (troposphère), puis elle croît (stratosphère), avant de décroître de nouveau (mésosphère).


Source CNES éducation
73 from Alain F6AGV